Fin du couvre-feu et du port du masque en extérieur…
A la surprise générale, le Premier ministre, Jean Castex, vient d’annoncer la fin du couvre-feu à partir du lundi 21 Juin et dès ce jeudi 17 Juin, la fin du port du masque en extérieur. Toutefois, le chef du gouvernement met en garde les français contre une éventuelle reprise de l’épidémie et les invite à se faire vacciner.
Une semaine pour descendre la Seine en paddle
Même si ce n’est pas une première, on se souvient en 2015 de l’arrivée triomphante à Honfleur de Nicolas et Paul-Arthur qui avaient, eux aussi, relevé le défi, mais la descente de la Seine en paddle reste toujours un superbe exploit. C’est ce que viennent de réaliser deux autres aventuriers, Kévin et Alex en arrivant samedi dernier devant les portes fermées du SAS de Honfleur. Partis de Paris le 5 juin dernier, les deux amis ont parcouru les 350 kms du fleuve en à peine 7 jours et seulement à la force des bras. Pour les deux amis, la dernière étape, entre le Pont de Normandie et Honfleur aura sans doute été la plus difficile puisque pendant plus de 2 heures ils ont lutté contre le courant pour arriver à destination, là où, amis et familles les attendaient.
Le ministre de l’intérieur, Gérald Darmanin, passe le week-end à Honfleur
Arrivé en toute discrétion samedi après-midi, le Ministre de l’Intérieur, Gérald Darmanin a passé un week-end privé à Honfleur. Après avoir récupéré sa chambre à l’hôtel de la « Ferme Saint-Siméon », le ministre est ensuite allé faire une petite promenade dans les rues de la vieille ville avant de prendre place à la table d’un restaurant du « Vieux Honfleur », Quai Saint-Etienne, le long du Vieux Bassin.
Respectant l’heure du couvre-feu, le numéro deux du gouvernement est rentré tranquillement à son hôtel pour y passer la nuit. Gérald Darmanin a quitté Honfleur dimanche dans la matinée pour rejoindre la capitale.
« Les Somnambules » de Chuck Wendig
Un livre colossal et pas seulement par la taille !
Ce roman est sorti en 2019 aux Etats Unis, juste quelques mois avant le début de la pandémie et on en a beaucoup parlé. J’ai attendu qu’il sorte en France pour le lire parce que : 1169 pages ! Rétrospectivement, je me dis que j’en serais venue à bout en anglais mais cela m’aurait pris un peu plus de temps et au départ, je ne pouvais pas savoir si c’était intéressant. C’est toujours mieux quand c’est possible de lire dans la langue de l’auteur s’il s’agit d’une œuvre poétique, par exemple. Là, ce n’est pas le cas, il s’agit dirais-je d’un livre de société. On y retrouve toutes les grandes peurs de notre époque, celle, vis à vis de ceux qui nous gouvernent, celle, d’être manipulé, celle, des autres et de l’inconnu. La force de l’extrémisme et des discours religieux mais aussi celle de la famille et de l’entr’aide.
L’histoire : un petit village sans histoire de Pensylvanie. Un matin Shana cherche sa petite sœur. Elle l’aperçoit qui quitte la ferme d’un pas décidé. Elle l’appelle, la rejoint pour l’arrêter, rien à faire Nessie marche inexorablement vers, vers quoi, vers où ?
Elle est rejointe par une, deux personnes, puis des centaines qui marchent sans manger ni boire sans jamais s’arrêter, Shana suit sa sœur comme d’autres suivent un frère une sœur, une mère. Les marcheurs sont en marche. Est-ce un complot du gouvernement, un plan pour sauver l’humanité du virus du « masque blanc » qui détruit l’humanité. Qui est derrière tout ça ?
« Les Somnambules »- de Chuck Wendig, aux Edts Sonatine