« Estuaire d’En Rire » fête son 25ᵉ anniversaire, une édition sous le signe de l’émotion…

Il y a des moments où le temps semble suspendu entre deux émotions : rire et pleurer, sans que les larmes soient obligatoirement celles de la tristesse ou du chagrin, mais celles de la joie et du bonheur.

Pleurer de rire, n’est pas seulement une belle expression, c’est aussi la marque de fabrique du festival « Estuaire d’En Rire », qui revient chaque mois de septembre dans les Greniers à Sel de Honfleur pour faire le plein d’humour, de complicité et de générosité artistique, distribuant ainsi aux spectateurs des doses d’énergie et de plénitude.

Pour son 25ᵉ anniversaire, le festival Estuaire d’En Rire soufflera les bougies du 9 au 13 septembre à Honfleur et le 14 septembre à la Cidrerie à Beuzeville, avec des belles cerises sur le gâteau, à déguster sans modération : Booder, Mathieu Madénian, Little Rock Story, Blandine Lehout, Camille Chamoux, Clément Blouin et le Filleul de cette édition, Ghislain Blique.
La liste des artistes invités donne le LA à cette symphonie d’humour, dévoilant ainsi la qualité du festival, qui ne cesse de charmer, de plaire et d’être à la hauteur des attentes. En plus des soirées du rire et du délire, il y aura pour cette édition des bonus, des surprises, des nouveautés et des spectacles inédits : Une visite guidée des coulisses, un Honfleur Comedy Club, le spectacle musical de Little Rock Story et une exposition d’un peintre/croqueur emblématique de Honfleur et du festival Estuaire d’En Rire.
Honfleur Infos, partenaire officiel du festival, couvrira les soirées des spectacles tout au long du festival, mais organisera aussi un jeu concours permettant à ses lecteurs de gagner deux places par spectacle.
Mais cette 25ᵉ édition est aussi un plein d’émotions pour Élise Lopes, bénévole et responsable de la programmation du festival depuis 2015, qui s’est confiée à « Honfleur Infos » lors d’une interview aussi émouvante que personnelle.

HI : Que représente pour toi ce 25e anniversaire du festival ?

Élise : Je suis dans une tranche d’âge où tu te dis que c’est forcément lié aussi à ta propre vie et à l’âge que tu prends. Je trouve que quand on est bénévole depuis toutes ces années, on se dit ça fait longtemps, et plus les années passent, plus je me dis tant qu’il y a de la joie et du plaisir, je continue. C’est vrai que ça fait beaucoup 25 ans, mais ce sont 25 ans de bonheur et du bien-être que le collectif offre aux spectateurs. Mais c’est vrai aussi que des fois, ça donne un peu le tournis de voir toutes ces années qui passent, et forcément, il y a aussi un questionnement par rapport à la programmation, la lassitude du public, les nouveautés qu’on essaie de mettre en place en se demandant est-ce que ça va plaire ? Mais bon, le collectif est chouette au niveau du groupe, on se pose moins de questions à plusieurs, mais si le public est au rendez-vous au fil des années, ça veut dire qu’on ne se trompe pas trop, ou alors, si on se trompe, ce n’est pas grave, on l’assume, car on apprend beaucoup aussi avec les gens à travers les expériences, donc tout va si bien.

HI : Quel est l’envers du décor quand on est bénévole ?

Élise : Une chose est très importante à savoir, c’est que le festival s’il est réussi c’est aussi grâce à tous les bénévoles qui le font vivre. Je sais que des fois ça paraît difficile, mais ce n’est rien par rapport à 25 ans de bonheur avec des gens qui sont là dans l’ombre, les bénévoles et les techniciens qui forment vraiment une grande équipe, pleine de bonne volonté et de générosité, le tout en bon équilibre et une parfaite osmose.

HI : Comment as-tu choisi la programmation du 25e anniversaire ?

Élise : Pour les 25 ans du festival j’avais envie d’un clin d’œil particulier, envie d’offrir un cadeau d’anniversaire au festival, un cadeau à partager avec les spectateurs, avec les artistes, avec les fidèles et surtout, avec les bénévoles. Etant donné que l’état d’esprit du festival est avant tout basé sur de la découverte et le soutient des jeunes artistes, j’ai pensais réunir à la fois des artistes confirmés, fédérateurs et percutants, avec des jeunes artistes montants et prometteurs d’avenir certain. Mes coups de cœur cette année sont exceptionnels, à chacun et à chacune sa particularité : 

– Booder : Un personnage familial, très familial. Quand je suis allée le voir au théâtre Point Virgule, c’était un dimanche, son spectacle était très éclectique, multi générationnel, populaire et fédérateur, donc ça m’a beaucoup plu.

– Mathieu Madiniant : Il était déjà venu il y a quelques années et c’était vraiment un super spectacle, hyper à l’aise au niveau du stand up. Ce pote qui va te raconter une histoire avec un sens inouï de l’autodérision, surtout avec sa paternité tardive, il est de plus en plus percutant et drôle, donc j’avais envie de partager ce spectacle que moi j’avais trouvé très bien.

– Blandine Lehoux : C’est quelqu’un que je trouve hyper abordable par ses vidéos sur les réseaux sociaux, j’aime ce qu’elle procure. Elle a une maîtrise au niveau des sujets qu’elle traite en interaction avec les spectateurs, surtout les premiers rangs, en partageant de manière très sympa son quotidien de « nana » et les différentes phases de sa vie. J’aime bien son style parce qu’elle est crash, tu te dis parfois j’aimerais bien être comme ça.

– Camille Chamoux : Je suis hyper contente de l’avoir, parce que, il y a quelques années, je l’avais programmée, mais elle n’a pas pu venir, elle m’avait gentiment appelée personnellement pour s’excuser. Je n’ai pas vu son spectacle avec lequel elle rejoint cette édition, mais je connais tous ses autres spectacles, dont j’ai adoré l’écriture, un style que je trouve très fin, avec toujours cette forme de théâtralité dans ses spectacles.

– Clément Blouin : Je l’ai déjà programmé dans un lieu où je travaillais avant. C’est un autre style, c’est le stand-up magie, le rêve réalisé de ce petit garçon qui devient un magicien, qui n’a rien lâché, sachant combiner la magie et l’humour à merveille. J’ai trouvé que c’était chouette de finir le festival sur une touche de magie, car son spectacle est vraiment bluffant.

– Little Rock : C’est la parenthèse musicale qui fait du bien. Les gens pourront choisir leur chanson rock qu’ils adorent, des tubes qu’on connaît. C’est très intéressant parce qu’il y a entre chaque morceau de musique un morceau d’histoire, donc c’est proposé intelligemment un peu au milieu du festival, avec toujours ce côté humour / musique, ça redonne une belle énergie.

– Honfleur Comedy Club : J’avais déjà lancé un Comedy Club dans une autre structure il y a un moment, mais ce qui a été inspirant pour réaliser et confirmer l’idée, c’est notre filleul de cette année, Ghislain Blique, qui fera la première partie des artistes, mais aussi qui présentera le Honfleur Comedy Club. Ghislain, que j’avais découvert au festival de Montreux et ensuite sur les réseaux sociaux, est un artiste que j’ai tout de suite aimé, avec ce décalage qui fait un peu le mec paumé, un peu l’anti-héros, un peu loser, et ce regard très premier degré sur les gens ; le tout m’a bien plu et convaincu. De plus, Ghislain présente aussi un peu de plateaux télé, donc son expérience dans ce type de show colle parfaitement à l’esprit du Honfleur Comedy Club, qui va réunir plusieurs jeunes artistes sur une même scène, permettant ainsi de découvrir des talents de demain.

– l’exposition surprise : C’est notre peintre emblématique du festival, Laurent Leroy, qui depuis 3 ans nous fait des croquis exclusifs sur l’atmosphère de chaque soir. Ce sont des petits morceaux de vie cachés, ou pas forcément cachés, des petits morceaux de vie du festival qui seront croqués à travers le regard et les traits de crayons de l’artiste, des situations et expressions invisibles par les autres, mais évidentes dans les yeux coquins de Laurent qu’on lui connaît bien.

Voilà de quoi mettre l’eau à la bouche, tout est là pour se préparer à une semaine fantastique d’humour et de bonne humeur, sans oublier les classiques de ce que le festival nous offre chaque année : le karaoké le samedi, le bar’ouf et surtout, la gentillesse et le professionnalisme de toutes les équipes de bénévoles, de techniciens et de partenaires.

Pour toute information et réservation, rendez-vous sur https://www.estuairedenrire.com/ ou allez sur https://www.ot-honfleur.fr/

« Pâtes à la truite fumée »

Prévoyez large car vos convives vont adorer. On peut faire des pâtes au saumon, moi, je fais des pâtes à la truite fumée, très abordable et délicieux.

Il faut : 1 tranche de truite fumée par personne soit pour 4 personnes 4 tranches

Environ 300g de pâtes sèches. J’ai pris des torsades mais vous faites avec celles que vous préférez) et pour la quantité c’est selon vos habitudes.

2 jaunes d’œuf

Un peu de beurre

2 belles cuillères à soupe de crème fraîche

1 oignon jaune

Sel, Poivre

1 cuillère à soupe de persil haché

Faire cuire les pâtes selon les directives du paquet, choisir la cuire « al dente » car elles vont un peu refaire ensuite.

Pendant ce temps d »couper les tranches de truite en larges lanières.

Dans une sauteuse, faire fondre le beurre et ajouter l’oignon hachés, et veiller à ce que cela ne brûle pas. Au bout d’1 ou 2 minutes, verser les pâtes sommairement égouttées dans la sauteuse. Bien mélanger. Dans un bol, mélanger la crème et les jaunes d’œufs et verser le tout sur les pâtes. Laisser à feu moyen quelques minutes, tout en remuant régulièrement pour que rien n’attache. Ajouter les morceaux de truite. Goûter pour ajouter le sel et poivrer généreusement.

Plonger 4 assiettes creuses dans l’eau bouillante pour les réchauffer et les essuyer rapidement. Répartir la préparation dans les assiettes, saupoudrer de persil et servir sans attendre.

La Chronique TV de Serge  du 3 au 9 mai 2025

La guéguerre de l’été  est déclarée…

 Fallait s’y attendre, la guerre des feuilletons estivaux, souvent éphémère a débuté, surtout dans la  communication… On fourbit ses armes, ses scénarios, ses castings et surtout, « on conférence de presse »… Ainsi, mi-avril, un nouveau format quotidien va jaillir sur M6, avec dans le casting, Héléna Noguera, Laëtitia Milot, Alexandre Varga, Bruno Solo, Vincent Desagnat, Jean-Batiste Maunier : « Nouveau jour »…
Cette saga familiale est et sera  tournée à Montpellier, dans l’Hérault… Une  propriétaire a hérité d’un hôtel 4 étoiles et comme par hasard, sa fille revient vivre à l’hôtel et bien entendu, un corbeau surviendra qui s’intéressera, lui  aussi,  au domaine étoilé… Bon courage  à vous… Quant à france 3, les  programmateurs  restent, eux, mordicus bloqués sur : «  Un si grand soleil »…
TF1 ne demeurera pas cloitrée dans sa grande tour, les pieds dans les mêmes sabots… Un feuilleton pointe également  son nez : « Tout pour la  lumière »… Durée du format 25 minutes, créé par Coline Assous, Yenti Coubes et Maxime Cormier, avec au casting :  Joy Esther, Isabel Otero, Lammick Gaudry, sur une musique de Matthieux Gonet… Ce  soap sera  diffusé à partir de  juin 2025…
Pour info, c’est tourné à La Ciotat et Marseille, dans les studios de la « Belle de Mai »… On attend le synopsis complet qui reste pour nous  dans le flou… La  surprise du chef !
Beaucoup de jeunes chanteurs aussi dans ce casting, alors  attendons-nous à un format genre « Fame », sur une réalisation de Nicolas Herdt… Nous  savons  simplement que l’action se déroulera dans une école de chant (encore!?) et de danse, mettant sous les projecteurs des jeunes talents… On n’en sort pas… Guère original… On surfe toujours sur les classiques de  TF1 « The Voice », etc… Marre…

HPI pas  mat !…

En effet, le président de Médiawan France  Scripted, producteur de la  série « HPI », sur TF1, ouvre visiblement la  porte, à la  suite, pour notre phénomène Audrey Fleurot, annonçant son retour possible… Après la  cinquième saison du format phare de TF1, devant son  succès, l’engouement face à cette arrivée prévue le 15 mai 2025 sur le petit écran, l’espoir des aficionados va se sentir raviver… La fin de la vie de notre Morgane Alvaro, consultante pour la DNPJ de Lille, notre ex-femme de ménage, avait pourtant choisi d’arrêter là… Mais, Thomas Anargyros, président de Médiawan qui produit la série, à l’occasion du festival annuel Canneséries, a annoncé que la chaîne Bouygues à le désir de continuer… « Peut-être une saison supplémentaire, ou soirées spéciales, voire un film ? »… et de continuer : «  En tout cas, l’histoire d’HPI n’est pas finie »… enfin, pour conclure : « Audrey est fondamentale, il existe une véritable alchimie avec le public »… Dont acte…
Même cas de  figure concernant un retour possible du duo magique de « NCIS », les  deux personnages tourtereaux ayant quitté la série en 2013 : Tony DiNozzo et Ziva David, tous les deux s’étant envolés pour l’Europe, et Paris, souvenez-vous… Notre ex-agent de « NCIS » y  gère actuellement sa société de sécurité qui s’est  fait  malheureusement attaquer. Le  couple et leur fille Tali, ont du fuir à travers notre  continent…  Un point de chute à Budapest…
Un nouvel opus proposé par les  producteurs de la série dont le tournage vient de se terminer. Un spin-off achevé doit être diffusé aux  Etats-Unis en automne 2025… Cote de Pablo et Michael Weatherly que nous allons retrouvés dans la série dérivée de  « NCIS : enquêtes  spéciales » : « NCIS Tony & Ziva »… Côté  casting : Isla Gie (Tali), Amita Suman, Nassima Benichicou et Terence Maynard… Soyons  patients, M6 reste sur les rangs pour sa diffusion, mais quand ? Mystère…

Et si je  vous  parlais de vos programmes  de télévision pour cette semaine…

Samedi 3 mai…

France 3 :  la série française, réalisée par François Velle : « Meurtres à… », avec Sara   Mortensen, Vincent Terorotua et Medi Sadoun… Titre de  l’épisode  inédit : Meurtres aux Marquises…

M6 : la série  américaine, saison 22 : «  NCIS : enquêtes spéciales », avec Sean Murray, Gary Cole, Brian Dietzen et Katrina Law… Deux épisodes inédit : Pour le meilleur et pour le  crime  et Tuer n’est pas  jouer…

France 4/culturebox :  un film de Pascal   Bonitzer : « Cherchez Hortense », avec Jean-Pierre  Bacri, Isabelle  Carré et Kristin Scott Thomas…  Faute de pouvoir parler à son père trop distant un prof de civilisation chinoise s’enfonce dans le mensonge et les  faux-semblants…

Dimanche 4 mai…

TF1 : un film de Taylor Sheridan : «  Ceux qui veulent ma mort », avec Angelina Jolie, Jon Bernthal et Finn Little…  Une femme pompier vient aider un ado pourchassé par les  assassins de  son père…

France 2 : un film de Nicolas Benamou : «  Mystère à Saint-Tropez », avec Christian  Clavier, Thierry Lhermitte et Benoît Poelvoorde…  Nous  sommes dans les  années 70, un arrogant commissaire,  bientôt à la retraite, enquête sur le  sabotage  de la  voiture d’un milliardaire…

Arte : un film de  Steven Spielberg : « Pantagon Papers », avec Tom Hanks, Meryl Streep, Carrie Coon et Sarah Paulson…  Nous sommes  en 1971, la directrice du Washington Post et son rédacteur en chef décident de  publier des  documents top secrets qui mettent  en cause trois  présidents américains  qui ont menti sur la  guerre  du Vietnam…

W9 : un film de  Guillaume Canet : «  Ne le dis à personne », avec  Kristin Scott Thomas, Marie-Josée Croze, François  Cluzet et André Dussollier… Quelques années plus tard, après  la  mort de  son épouse, un pédiatre replonge  dans  l’angoisse lorsqu’il reçoit un mail  laissant entrevoir que sa femme serait toujours vivante…

Lundi 5 mai…

TF1 :  la série française, saison 8 : « Sam », avec  Hélène de Fougerolles, Chantal Ladesous, Fred Testot et Amaury de Crayencour…  Deux  épisodes inédit : Lili et Solal…

France 2 :  la série franco-britannique, saison 14 : «  Meurtres  au paradis », avec Don Gilet, Shantol Jackson, Don Warrington et Ginny Holder… Deux  épisodes inédits :  L’Armoire des scellés et Fin de  course..

France 3 : un film de Blandine Lenoir : «  Annie colère », avec Laure Calamy, India Hair et Zita Hanrot…  Nous  sommes  en 1974, une mère de  famille, contre  son gré, tombe  enceinte et va devoir s’adresser à une  association qui en toute illégalité, va procéder pour la faire  avorter…

Mardi 6 mai…

France 2 :  un documentaire de  Michaël Gamrasni : «  1939-1945- Et le monde bascule »… Une nouvelle  approche visiblement originale sur la  Seconde Guerre  mondiale, avec des images  d’archives  afin de  garder en mémoire  ces atrocités afin  d’éviter que cela recommence… Quatre épisodes :  L’embrasement, L’Abîme, Le  Tournant et La Libération…

France 3 :  la série française, saison 3 : « Face à face », avec Claire Borotra, Clémentine  Justine, Clément Aibert et Constance Gay… Deux  épisodes inédits :  Sous pression et La Victime imaginaire…

W9 : un film de  Christopher Thompson : «  Tendre et saignant », avec Arnaud Ducret, Géraldine Pailhas, Elisa Erka et Stéphane De Groodt…  Une rédactrice en chef d’un magazine hérite de la  boucherie familiale… Elle reprend la boutique avec un employé de feu son père…

Mercredi 7 mai…

France 2 :  un téléfilm de Renaud Bertrand : « Résistantes », avec Line  Renaud, Elodie Navarre et Jonathan Zaccaï…   Une religieuse dans les  années 70, qui  décline lentement, décide de se confronter à son passé de résistante et  aux  pages  secrètes de  sa vie de femme…

Arte :  un film de Garth Davis : «  Lion », avec  Nicole Kidman, Dev Patel et David Wenham… A cinq  ans, un gamin s’endort dans un train et se  retrouve paumé  dans l’immensité de  Calcutta, à des milliers de kilomètres  de chez  lui… Des  années  plus tard,  devenu australien, le souvenir de ses proches le  hante…

Chérie 25 : la série  américaine, en rediffusion, saison 8 : « Castle », avec Stana Katic, Nathan Fillion, Molly C.Quinn et Susan Sullivan… Quatre épisodes…

Jeudi 8 mai…

TF1 :  la série française, saison 12, réalisée par Nathalie Lecoultre : « Léo Matteï, brigade des  mineurs », avec Jean-Luc Reichmann, Stomy Bugsy, Lola Dubini et Romane Portail… Un seul épisode  inédit, en deux parties :  Chez  les  autres…

France 2 :  un divertissement :  « Soirée spéciale 80 ans du 8 Mai 1945 »… Une  date qui marque la fin de la  Seconde Guerre mondiale sur la défaite de l’Allemagne  nazie et la  victoire des  Alliés sur les  forces de l’Axe,  bref, une grande  soirée en musique  afin de se  souvenir…  Un grand concert avec de  nombreux artistes qui se succéderont sur les  Champs-Elysées pour clore cette  journée  exceptionnelle…

France 3 : la série française,  en rediffusion, saison 4, réalisée par Sylvie Ayme : « Cassandre », avec Gwendoline Hamon, Dominique Pinon et Alexandre Varga… Titre de l’épisode : La Rançon du silence…

Vendredi 9 mai…

France 2 : retour de la série  française, réalisée  par Josée Dayan : «  Capitaine Marleau », avec Corinne Masiero, Grégoire Bonnet et Emilie Dequenne… Titre de  l’épisode inédit : La Septième Danse… Une  des  dernières apparitions d’Emilie Dequenne  emportée le 16 mars  2025 par un cancer…

M6 : un film de James Mangold : «  Night and Day », avec Tom Cruise, Maggie Grace  et Cameron Diaz… Un agent en cavale va  rencontrer  par hasard une belle  ingénue qu’il va entrainer dans  son sillage  toute une  série de péripéties à travers le monde…

Arte : un film d’Olivier Assayas : «  L’Heure d’été », avec Charles Berling, Juliette  Binoche, Jérémie Renier et Sara Martins…  Deux  frères  et une  sœurs, bobos,  vont se  heurter à un héritage maternel avec des chefs-d’oeuvre de la  collection de leur grand-oncle peintre…

A suivre…S.G.

Honfleur : Une énorme butte de vase menace l’entrée du port…

Jeudi soir, les sauveteurs en mer de la station SN...


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Vente du muguet du 1er mai…

Tradition respectée dans les rues de Honfleur avec la vente du muguet du 1er mai. Comme beaucoup de choses, le brin de muguet subit également l’inflation. En ce 1er mai 2025, le muguet en flute est proposé au prix de 8 euros, en pot, 10 euros, en bouquet avec une rose, 5 euros et enfin le bouquet simple à 3 euros.
La vente de muguet le 1er mai est une tradition bien ancrée dans plusieurs pays, en particulier en France. Elle permet bien souvent à des familles ou des enfants de gagner un peu d’argent de poche. Mais attention toutefois aux « professionnels » de la vente dans les rues, composés souvent en véritable entreprise, qui profitent de cette journée pour vous vendre du muguet à des prix plus que exorbitants. Soyez donc très prudent et privilégier les petits revendeurs aux grandes tables bien garnies en fleurs…

Pourquoi vendre le muguet le 1er mai ?

Le muguet, ou « lys des vallées », est associé au printemps et à la chance, offrir du muguet le 1er mai est censé porter bonheur.
Cette tradition remonte à plusieurs siècles, mais elle a été popularisée par le roi Charles IX en 1561, qui a décidé d’offrir du muguet aux dames de la cour comme symbole de chance.
Cependant vendre du muguet sur le domaine public, il y a des règles à respecter. En France, il est légal de vendre du muguet dans les lieux publics ce jour-là, même sans licence de vente, en raison de son caractère festif. Cela ne s’applique généralement qu’à la vente de petits bouquets pour célébrer cette journée.
Mais le 1er mai c’est également la fête du Travail en France, ce qui donne lieu à des manifestations et défilés syndicaux. Le muguet est donc souvent associé à ces festivités, symbolisant à la fois le bonheur et les revendications des travailleurs.
Beaucoup de gens offrent du muguet à leurs proches comme un geste amical et porteur de chance, créant ainsi une belle tradition de partage. Si vous souhaitez en acheter ou en offrir, assurez-vous de choisir des fleurs fraîches et de qualité.

@Honfleurinfos : Vente du muguet dans les rues de Honfleur

4ème tour du championnat par équipes jeunes à Honfleur ce dimanche

L’équipe 1 composée d’Anthony Gauthier et de Pacôme Talbot avait fort à faire en poule 1. Elle perd 5/0 sur
Villers Bocage et 4/1 sur Lisieux et termine à la 4ème place de son groupe.
L’équipe 2 composée de Joris-Karl et d’Antoine Pilon jouait en poule 2. Après une belle victoire sur Deauville
3/2 elle s’incline 3/2 en finale sur Pont-l’Évêque et termine 2ème de son groupe.
L’équipe 3 en poule 7 composée de Nicolas Verne et Louka Forcinal est vaincue par Cormelles 3/2 et par Caen
3/2 également.
Une quatrième équipe a été inscrite lors de ce tour avec deux petits nouveaux : Hugo Lemarchand et Edouard
Perrin (8 ans en photo). Excellents débuts avec une victoire 3/2 sur Frénouville pour leur première compétition
officielle suivie malheureusement d’une défaite 5/0 en finale de la poule 10 sur des jeunes beaucoup plus âgés
et nettement plus forts.

Etat de catastrophe naturelle pour Honfleur et La Rivière Saint-Sauveur…

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Le 24 janvier dernier, les communes de Honfleur et de La Rivière Saint-Sauveur étaient victimes d’inondations et de coulées de boue. Les maires de deux communes avaient alors saisi le préfet du Calvados et demandaient à l’Etat la reconnaissance de l’état de catastrophe naturelle.
Le 22 avril dernier, le ministre de l’intérieur publiait un arrêté de reconnaissance de l’état de catastrophe naturelle pour les communes de Honfleur et de La Rivière Saint-Sauveur.
Le 29 avril 2025, paraissait au journal officiel le décret de la reconnaissance pour ces deux communes au motif : inondations suite à des précipitations supérieures à 10 ans.
Les habitants des deux communes touchés par ces inondations peuvent dès à présent contacter leur compagnie d’assurances afin d’ouvrir leur droit à la garantie contre les effets de catastrophe naturelle sur les biens faisant l’objet d’un contrat d’assurance…

Un nouveau prêtre arrive à Honfleur

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Lors de la messe de Pâques, le Père Pascal Marie, ...


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À la Mora de Guillaume le Conquérant, la programmation du mois de mai cache une surprise

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Traditionnellement, le mois de mai porte beaucoup de synonymes et de proverbes qui lui collent à la peau  : « En mai, fais ce qu’il te plaît », ou « Époque à ponts », ou encore « Brouillard de mai, chaleur de juin, amènent la moisson à point », et aussi « Lorsqu’il pleut le 3 mai, point de noix au noyer », et tellement d’autres dictons assez amusants.

À la Mora de Guillaume le Conquérant, le mois de mai est synonyme d’évasion, de plaisir, de découverte, d’apaisement et de détente. La programmation du mois de mai est à la hauteur des belles journées qui s’annoncent : entre jeux, sports, ateliers, chantier spectacle et scénographie, les visiteurs auront le choix des rois. Cerise sur le gâteau, avec cette belle surprise  : À l’occasion de la nuit européenne des musées, l’entrée pour la scénographie sera gratuite, sur réservation uniquement.
Que faire entre le 3 et le 31 mai à la Mora  ? Des animations et activités pour tout public, du plus petit au plus grand, du plus près au plus loin. Les équipes des bénévoles et des organisateurs ont œuvré main dans la main pour dénicher les meilleures animations et activités pour les visiteurs.

– Samedi 3 mai de 10 h 00 à 19 h 00 et dimanche 4 mai de 11 h 00 à 17 h 00  : Différents jeux en bois, ainsi que des sports traditionnels tels que la « choule à la crosse » normande, vous seront proposés et animés par la Fédération des sports et jeux (FSJN). Ambiance traditionnelle et bonne humeur assurées.

– Samedi 17 mai de 19 h 00 à 22 h 00  : scénographie gratuite pour tous. Dans le cadre de la nuit européenne des musées, la Mora offre un rêve éveillé aux visiteurs, à travers une immersion dans l’histoire de Guillaume le Conquérant. Réservation fortement conseillée.

– Mercredi 21 mai à 14h30  : atelier créatif, une carte d’amour pour la maman. Comment dire « je t’aime » à sa maman  ! Pourquoi pas à travers une lettre ou une carte en calligraphie  ? Un atelier créatif et émotionnel pour les petits et les grands. Réservation conseillée, 2  € par personne.

– Samedi 31 mai à partir de 14 h 30  : atelier peinture sur bois, ouvert à tous. Une belle occasion de s’initier à la peinture sur bois, ou une opportunité de mettre ses talents d’artiste à l’épreuve de la beauté de la plus belle vue de Honfleur, partir ainsi avec sa création comme les grands peintres, le temps d’un joli rêve. Réservation conseillée, 2  € par personne.

Faites le plein de soleil et de joie à la Mora : chaque mois, une programmation inédite vous sera proposée.

Information et réservations sur le site de la Mora ou le site de l’office du tourisme.

Rudy Laffond, l’ancien flic honfleurais devenu écrivain

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Ancien enquêteur au sein de la célèbre 4ᵉ brigade territoriale de Paris, puis enquêteur au commissariat de Honfleur pendant plus de 12 ans, Rudy Laffond vient d’écrire son premier roman, « Des femmes en danger ». Un roman qui s’inspire d’enquêtes auxquelles il a participé, l’inspecteur Laffond nous entraîne dans un thriller haletant, parfois émouvant, du début à la fin.


Il est parfois des polars qui nous transportent dans des milieux que jamais nous n’aurions imaginés. Rudy Laffond, ancien enquêteur au commissariat de police de Honfleur, mais aussi et surtout ancien inspecteur à la PJ de Paris, a eu l’idée de coucher sur le papier les nombreuses affaires qu’il a pu, au cours de sa carrière, vivre et résoudre.
« Depuis toujours j’avais envie d’écrire », explique l’ancien policier honfleurais en poste à Honfleur de 1991 à 2003 au grade de capitaine.
À l’heure de la retraite après une vie tumultueuse à fréquenter les bars, les endroits malfamés, à filocher et à interpeller les délinquants, Ruddy Laffond s’est lancé le défi d’écrire un roman et de raconter son vécu.
Un véritable polar à l’image du film « La Balance » du réalisateur Bob Swaim. 
« Ce que j’ai voulu dans ce livre, c’est raconter mon quotidien à Paris dans les années 1970. » « Il y a dans ce livre de véritables histoires, mais aussi de la fiction. »
« Des femmes en danger », c’est le titre de son livre qui raconte, par exemple, l’histoire de Natalie, une ancienne prostituée, d’Alice, une jeune femme au passé trouble, et de cet inspecteur de police, Julien Vidal, dont les vies vont s’entremêler lorsqu’un violeur en série terrorise le quartier parisien de Bel Air.
Un thriller haletant dans lequel on se plonge facilement tout en remontant le temps, car, à cette époque, comme l’explique l’ancien enquêteur, il n’y avait pas de téléphone portable : « Il fallait aller dans les cabines téléphoniques publiques pour faire le point avec les collègues. Il n’y avait pas de GPS pour se repérer, il fallait bien connaître son quartier. »
Inspecteur dans la célèbre 4ᵉ brigade territoriale ayant en charge les 11ᵉ , 12ᵉ et 20ᵉ   arrondissements de Paris, Rudy Laffond est resté 12 ans au sein de la police judiciaire avant d’être muté à l’identification judiciaire où il aura, pendant 3 ans, la lourde tâche d’identifier des personnes victimes d’accidents ou d’assassinats.
Aujourd’hui à la retraite, l’ancien flic a pris son temps pour écrire son premier roman dans lequel il s’est largement inspiré des nombreuses enquêtes auxquelles il a pu participer.
Afin de toucher un plus large public, Ruddy Laffond cherche un éditeur pour diffuser ce roman.

Pratique : « Des femmes en danger », un livre, disponible sur les sites : Librinova.com, Amazon et la Fnac. En version papier pour 24,90  €, en version numérisée pour 4,99 €.