Dimanche dernier, une peur panique s’est emparée des habitants de la rue Haute lorsque, aux alentours de 10 h 00, des étincelles puis des flammèches sont apparues sur la façade d’une maison d’habitation provoquant, du même coup, une coupure de courant.
Très rapidement, les services « Enedis » ont pu localiser l’endroit d’où provenaient les flammèches avant d’intervenir sur des fusibles extérieurs. Selon une habitante du quartier, « ce n’est pas la première fois que cela arrive ! »
Pendant près de deux heures, la rue Haute a été privée d’électricité afin de laisser le temps aux techniciens d’effectuer une réparation et de rétablir le courant dans la rue… À noter que pour les services incendies, la rue Haute fait partie des rues sensibles de par la configuration du lieu, mais également, de par le type de construction en bois de certaines maisons d’habitations.
Honfleur : début d’incendie rue Haute
Honfleur : on connaît les dates du retour des terrasses sur les quais
Par arrêté municipal, la ville de Honfleur vient de fixer les dates du retour des terrasses sur les quais de Honfleur, rue de la ville et place Arthur Boudin.
À partir du 29 mars prochain, dans le cadre de la saison estivale, afin de permettre l’installation du mobilier des terrasses de restaurants et de ventes à emporter, la circulation sera interdite quai Sainte-Catherine, tous les jours à compter du 29 mars prochain à 8 h 00 jusqu’au lundi 14 octobre à 12 h 00. Les restaurateurs auront la journée du 29 mars pour installer leur terrasse avant l’ouverture officielle le 30 mars 2024.
Sont également concernées par cet arrêté, avec la mise en voie piétonne, la place Arthur Boudin et la rue de la Ville. Dans les secteurs concernés, le stationnement et la circulation, sauf véhicules de secours, sont strictement interdits.
Honfleur : Préjudice affectif au Musée de la Marine
Acte de vandalisme gratuit ou accident ? On ne le sait pas encore ! .. Toujours est-il qu’un des petits carreaux du musée de la Marine, rue de la Prison, a été brisé, causant un préjudice affectif important chez les Honfleurais. Le, ou les auteurs de cet acte voulaient sans doute serrer la main du mannequin qui trône fièrement et de façon énigmatique derrière son pupitre depuis des dizaines d’années…Une enquête a été ouverte afin de découvrir et d’élucider « le mystère de la vitre brisée… »

Tennis de table : CHTT : Action caritative en faveur du Bonne Balle Club d’Akassato au Bénin
Samedi 17 février, le Club Honfleurais de Tennis de Table accueillait le Président de la Commission technique de la Fédération béninoise de Tennis de Table. Contactés par Fernando Assogba, le Président fondateur de l’association Akpadenou, les dirigeants du CHTT ont répondu présent afin de réaliser une collecte au profit du Bonne Balle Club d’Akassato au Bénin. Un petit tournoi de doubles a été organisé à cette occasion pour créer des liens autour du tennis de table. Le CHTT a fait un don d’une table, de maillots et de raquettes pour soutenir le club béninois.
Honfleur : séance de dédicace à la librairie « À plus d’un titre »
Ce samedi, l’écrivain Jérémie Claes était à la librairie « À plus d’un titre » pour dédicacer son dernier livre « L’Horloger ».
Caviste de profession et chroniqueur à la télévision belge, Jérémie Claes signe là un premier roman policier qui tient le lecteur en haleine jusqu’au dénouement.
Ce triller, bien ficelé, nous montre la part sombre de l’humanité avec, il est vrai, un peu d’espoir.
L’Horloger de Jérémie Claes, aux éditions Héloise d’Ormesson.
Honfleur : nouveau succès pour le salon des « puces des couturières »
Organisé par les associations « Coudes à coud » et Être et Boulot, le salon des puces des couturières a une nouvelle fois connu un véritable succès.
Cela fait maintenant douze ans que ce salon existe et à chaque fois, c’est la même satisfaction, comme le souligne Pierre Levallois, le directeur d’Être et Boulot, l’un des organisateurs : « Nous avons eu une année d’interruption à cause de la pandémie Covid, mais sinon, à chaque fois, depuis 12 ans, ce salon est une réussite. Cette année encore, nous recevons plus d’une cinquantaine d’exposants venant d’un peu partout : de Moselle, de la région parisienne, de Bretagne, du Nord, mais aussi et surtout de la région honfleuraise. L’entrée est libre et gratuite afin d’ouvrir l’espace à tout le monde… » Lorsqu’on lui demande quel genre de visiteurs déambule dans les allées du salon, Pierre Levallois indique : « Nous avons tous les genres, des gens qui viennent chiner, des gens qui recherchent la perle rare ou bien des gens qui viennent chercher un tissu, une étoffe et qui, au hasard de la déambulation, vont faire une découverte, car nous avons ici, dans ce salon, beaucoup de belles choses.
Il faut dire aussi que ce salon des puces des couturières n’est pas uniquement réservé aux deux associations, il y a aussi environ 50 % d’exposants professionnels qui nous amènent de très belles choses… Mon rêve, avant de partir en retraite, serait d’organiser la même chose à Deauville… On verra bien !… »
Sur les 220 mètres linéaires du salon, les exposants ont pu proposer des choses vraiment très intéressantes comme Annick Vautier, décoratrice d’intérieur à La Rivière Saint-Sauveur qui est présente au salon depuis son début. Son stand est une véritable caverne d’Ali Baba. On y trouve de tout et surtout des fabrications personnelles. Une joie pour Annick d’être dans ce salon : « C’est un véritable plaisir de venir ici, car on rencontre des gens passionnés et intéressants. Je suis fidèle à ce salon des puces des couturières qui est parfaitement bien organisé. Un véritable plaisir… »
Le salon a fermé ses portes dimanche soir avec le sentiment du devoir accompli.

Honfleur : Assemblée générale des membres de la confrérie du « Trou Normand »…
Les membres de la confrérie du Grand Ordre du Trou Normand se sont réunis ce samedi à Honfleur pour leur traditionnelle assemblée générale. Placée sous la devise « Bois peu, mais bon », la confrérie du Trou Normand s’est fixée pour objectif de défendre les produits nobles du terroir, allant du célèbre Calvados en passant par le poiré, le pommeau et les cidres.
Sous la présidence de Jean-Claude Gibon, grand maître de cette confrérie, les membres de l’association ont mis en place l’ordre du jour avant un bon repas, au restaurant l’Alcyone, et une dégustation de Calvados, qu’ils ont bu avec modération.
Née en 1999 de la fusion de la « Confrérie des Chevaliers du Trou Normand » créée en 1966, de « l’Académie des Gentes Dames du Pommeau » et du « Grand Ordre des Calvados » riches de plusieurs milliers de Chevaliers et Gentes Dames depuis leur création, l’association « Grand Ordre du Trou Normand, des Calvados, Cidres et Pommeau » et tous ses Consulats, Ambassades et Bailliages, soutenue par les producteurs réunis au sein de l’inter Profession des Appellations Cidricoles à travers le monde s’est donnée pour objectif de soutenir sur tous les marchés les produits normands, de participer dans un but désintéressé à toute activité collective ayant pour objet la promotion des produits cidricoles normands de qualité et enfin de mieux faire connaître la Normandie et ses produits et de faire apprécier la Table Normande et ses recettes. À noter que la confrérie dispose d’ambassades en Grande-Bretagne, en Suisse, en Allemagne, au Canada et au Japon…
À l’occasion de cette assemblée générale, et en présence du Grand Maître, Jean-Claude Gibon, de Georges Bernard Carp, vice-président, de Monique Gibon, secrétaire, de Francis Moutiers, Grand Maître d’Honneur et de Jean-Pierre Céreuil, membre permanent, trois nouveaux membres ont été intronisés dans l’Ordre du Trou Normand, des Calvados, Cidres et Pommeau…
L’abus d’alcool est dangereux pour la santé

« Mon bouillon du soir »
Je ne savais pas quel titre donner. J’avais bien trouvé « bouillon de onze heures » mais je me suis dit que mon « rédac’chef » allait me censurer trouvant que ce n’est guère vendeur !!!!!
Il s’agit d’un bouillon que l’on fait quand on a fait un pot au feu ou des jarrets comme précédemment.
Donc il vous faut un morceau de bœuf à pot au feu ou comme moi deux jarrets de porc. Comme je vais consommer le bouillon, je mets ma viande à l’eau froide et j’écume dès les premiers frémissements.
C’est à ce moment que je mets mes légumes, là un assortiment tout prêt acheté en barquette qui comprend des carottes, des navets, du poireau, du thym, du laurier, et un quart de chou (il y avait aussi une pomme de terre que j’ai réservée pour un autre usage). Sel et poivre.
Il me faut aussi quelques tranches de pain de campagne et de l’emmenthal ou du comté râpé.
Une fois la viande cuite (à basse température au four si vous avez utilisé une cocotte qui y va (pas de poignée en bois ou en plastique !!), ôtez-la et réserver une partie des légumes pour le bouillon. Mettez le bouillon à refroidir jusqu’au lendemain.
Le lendemain, reprenez le bouillon pour le dégraisser à l’aide d’une cuillère par exemple. Allumez le four à 180°. Puis, pendant que vous réchauffez le bouillon, coupez des tranches de pain, étalez les sur la lèchefrite avec quelques gouttes d’huile et recouvrer généreusement de fromage râpé. Enfournez pour bien gratiner. Vérifiez l’assaisonnement du bouillon.
Servez le bouillon chaud dans des bols, ajoutez des légumes et éventuellement quelques petits morceaux de viande pour faire un plat complet. Posez une tranche de pain gratinée à côté.
Je vais servir mes jarrets de porc avec des lentilles.