Retour à la normale pour la collecte des déchets…

La Communauté de Communes du Pays de Honfleur-Beuzeville indique qu’à partir du lundi 25 mai, la collecte des déchets verts, des encombrants ainsi que le ramassage des ordures ménagères et des déchets recyclables, reprendra normalement, comme avant confinement. Voir tableau ci-dessous.

Réouverture de la plage de Honfleur-Vasouy à partir du mercredi 20 Mai 2020 …

Cette fois c’est officiel, le 1er adjoint au maire...


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La SNSM Honfleur au secours d’un voilier en difficulté au large de Villerville…

Dimanche soir, vers 21h50, les sauveteurs en mer d...


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Reprise des cours à l’École d’Art Graphique de l’Estuaire

Guillaume de Saint-Pierre informe que les cours à l’école d’art graphique de l’estuaire reprendront le mercredi 20 mai à Honfleur, et le vendredi  22 mai à Pont-Audemer. Horaires habituels. Voici les recommandations réalistes d’un professeur de médecine, faciles à appliquer, pas traumatisantes, confortables et totalement fiables.
Il est nécessaire que chacun ait un flacon de liquide désinfectant (hydro-alcoolique), un masque ou une visière, et la totalité de son matériel. En effet, aucun échange ou prêt de matériel ne doit être fait. La principale recommandation est de garder ses distances. Ni embrassades ni poignées de main. Une fois que chacun est installé, il a son espace. Son vêtement sur sa chaise (qui sera nettoyée avec un produit acheté en pharmacie), son matériel à portée de main. Là, pour travailler, chacun aura le droit, s’il le veut, d’enlever son masque et de le mettre dans sa poche (pas sur la table). Vous pouvez préférer la visière au masque. Personnellement, j’ai les deux. Tant que les distances seront respectées (c’est le plus important, j’insiste), je pourrai les enlever, comme vous.
A chaque déplacement (arrivée, départ, wc, lavage des pinceaux ou des mains dans le cagibi), chacun devra REMETTRE SON MASQUE ou sa visière. Se désinfecter les mains avec son propre gel avant et après le déplacement. Il n’y aura qu’une personne à la fois dans le cagibi. De même, chacun aura son document. Ceux-ci seront récupérés en fin d’année, mais avant, il n’y aura aucun échange : vous les garderez dans votre carton. Il est conseillé de prendre à chaque fois son carton à dessin. Pour ceux qui ne peuvent vraiment pas, il y aura un emplacement… et un passage au désinfectant.
Pendant le cours, tout sera donc pratiquement comme avant, dans la joie, la concentration, l’oubli des ennuis, et la bonne humeur ! Il faut juste prendre l’habitude de ces petites règles nécessaires, et de nouvelles habitudes d’hygiène qui sont en vérité bien normales et pas trop contraignantes. Comme nous avons toujours été entre 8 et 10 élèves à chaque séance, cette petite discipline est bien facile à suivre. La contrainte sera bien légère. Et le plaisir de dessiner, peindre, créer, imaginer, s’évader, s’envoler, encore plus fort.
Donc n’hésitez pas. Ne sombrez pas dans cette peur qui a été le fond de commerce de la télé pendant deux mois. Sachez enfin que plus important encore que la distanciation, il y avait le renfort de nos défenses immunitaires. Il se trouve que celles-ci sont plus puissantes en été qu’en hiver. D’où l’affaiblissement progressif de l’épidémie. Renforcez-vous en vitamines (C et D pour commencer).Préférez celles qui sont naturelles, en boutique bio, plutôt que les versions seulement chimiques. Ensuite, voyez avec vos naturopathes : quercétine, et  aromathérapie…
Tout ira bien. L’art sera la meilleure thérapie, ensuite, contre le stress, la fatigue, la déception, l’énervement, l’inquiétude. Herbo m’a cité ce mot, il y a bien longtemps « on est un vrai peintre quand on fait du beau avec du moche ». Il m’avait surpris en train d’admirer les reliefs de vase dans un bassin de Honfleur à marée basse. Nous étions les seuls à admirer ces étranges plans gris humides que tout le monde trouvait répugnant. Maintenant, soyons de vrais artistes en faisant de l’art dans une période aussi moche.

renseignements :

A Honfleur :

13, Rue Charrière St-Léonard 14600 HONFLEUR

A Pont-Audemer :

Centre Art et Culture
14, Rue du Doult Vitran 27500 PONT-AUDEMER

Téléphone : 02 32 56 59 14

La foule était de retour ce week-end à Honfleur…

Un beau ciel bleu, une température estivale, une f...


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Votre portrait à l’ancienne avec la photographe Florence Leviels

Jeune photographe honfleuraise, Florence Leviels a choisi d’installer sont chevalet sur le port de Honfleur afin de réaliser des portrait grâce à une technique de photographie à l’ancienne.
Basées sur le principe de la « caméra obscura », les photographies réalisées par Florence Leviels, donnent une vue en deux dimensions très proche de la vision humaine.
Cette technique de prise de vue sans diaphragme, ni lentille, a été mise au point au 4ème siècle mais véritablement élaborée au début du 19ème siècle.
Abandonnée depuis l’arrivée de la pellicule, puis du numérique, la « caméra obscura » avait en son temps permis de réaliser les portraits de nombreux personnages célèbres comme celui de Napoléon III.
Tous les samedis et dimanches ainsi que les jours fériés, la photographe, Florence Leviels, installe sa boite à image non loin du bateau promenade «  Jolie France » et réalise, en seulement une dizaine de minutes, votre portrait.
Pour plus de renseignements : leviels.florence@outlook.fr ou bien 06 82 13 68 48.

Ouverture de la plage de Honfleur : il faut attendre l’arrêté municipal…!

Dans notre édition d’hier soir, nous annoncions l’ouverture au public de la plage de Honfleur, à la suite, il est vrai, de la parution de l’arrêté préfectoral signé du Préfet de la « Région Normandie », Philippe Court. Il appartient maintenant au maire de la ville de signer un arrêté municipal afin de laisser le temps au personnel municipal d’installer un balisage ainsi que des panneaux d’information. La plage est donc de facto toujours interdite au public…
Il faut donc attendre la signature et la publication de cet arrêté pour profiter de la plage de Honfleur…

Ouverture de la navigation de plaisance et de la plage à Honfleur

Après des semaines et des semaines de confinements...


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Le préfet de région autorise l’ouverture des plages sur le littoral normand

Lors de sa conférence de presse de ce vendredi 15 ...


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“Vongozero” de Yana Vagner

Superbe road trip sur fond de coronavirus. La seule chose que je reproche à ce livre c’est peut-être de m’être tombé entre les mains le 1er Mars 2020.
Cela tient du thriller psychologique ou roman post- apocalyptique. Dans le contexte actuel, j’écris en avril 2020, je ne sais pas trop qu’en penser… Je vais donc forcer un peu mon optimisme habituel pour pencher vers la première option. J’ai la grande chance de voir le jardin depuis ma fenêtre, d’entendre les oiseaux chanter, de sentir le soleil qui dessine un grand carré de lumière sur le sol et m’oblige à me tourner un peu pour voir mon écran, tout cela m’aide à positiver. Je peux m’imaginer que tout cela n’existe que dans la fiction et que lorsque j’aurais fermé le livre, je retrouverais la vie d’avant, comme avant que je commence le livre.
Anna est moscovite, elle n’aime pas la promiscuité. Elle habite une magnifique maison dans la banlieue de Moscou, avec son mari Sergueï et son fils Micha qu’elle a eu d’une précédente union. C’est la vie dont elle a rêvé, tout va bien. Il y a bien quelques voisins, surtout ceux d’en face qu’il faut supporter de temps en temps mais juste le temps d’un dîner et puis chacun chez soi.
Et puis voilà, ce fichu virus de souche inconnue qui a déjà décimé plusieurs pays. Il sévit surtout dans les grandes agglomérations et Anna se sent à l’abri dans sa banlieue cossue. Jusqu’au moment où l’on ferme les villes. Les habitants de Moscou sont mis en quarantaine, confinés, les habitants essaient de s’échapper, ils se sentent voués à une mort certaine. L’armée garde les sorties et les accès. Mais le virus ne connait pas les frontières. Même le téléphone est coupé. Il va falloir partir. Avant de partir, Sergueï veut récupérer son ancienne femme et surtout son fils qui vivent à Moscou.
Enfin, les voilà partis sur les routes avec leurs voisins et le père de Sergueï, objectif Vongozero un îlot sur un petit lac sibérien où le père de Sergueï possède un petit pavillon de chasse.
Il faudra douze jours pour rejoindre Vongozero, toute une vie avec ses rencontres, ses morts, les villes et les villages décimés, avec la faim, la maladie, le froid, les brigands qui profitent de la situation et le manque de carburant.
L’histoire est racontée par Anna, celle qui n’aime pas la promiscuité et qui doit supporter les voisins, l’ancienne femme et son fils, le père de Sergueï mais aussi d’anciens amis de son mari rencontrés sur la route. L’histoire est entrecoupée de monologues où Anna essaie de se retrouver.
Les voici, arrivés à Vongozero, mais sont-ils sauvés pour autant ?

Vongozero de Yana Vagner, aux éditions « Pocket »